4e de couverture : Zola brûlait d'écrire Nana. "Je crois que ce sera bien raide. Je veux tout dire, et il y a des choses bien grosses. Vous serez content de la
façon paternelle et bourgeoise dont je vais peindre les bonnes "filles de joie". En fait de joie, l'actrice, Nana, dévore les hommes, croque les héritages et plonge les familles dans le
désespoir. Belle et prodigue, elle mène une danse diabolique dans le Paris du Second Empire, le Paris des lettres, de la finance et du plaisir. En se détruisant elle-même, elle donne le coup de
grâce à une société condamnée, détestée par Zola. Neuvième volume de la série des Rougon-Macquart, Nana est le plus enivrant d'érotisme et de passion déchaînée.
Mon avis : j'ai lu avec beaucoup de plaisir L'assommoir il ya quelques années, aussi en voyant Nana dans le challenge Livraddict, j'étais heureuse de retrouver la plume de Zola. Hélas, le charme n'a pas opéré ....
L'histoire se déroule au 19e à Paris et raconte l'ascension sociale de Nana, assez piètre actrice mais dont l'apparition presque nue dans une pièce lui apporte la notoriété. S'ensuit alors ses
aventures amoureuses et leurs conséquences sur les protagonistes du roman.
Il faut bien dire qu'aucun des personnages n'a vraiment retenu mon attention, ne ne m'a particulièrement intéressé. Cette lecture fut laborieuse et certains paragraphes survolés tant l'histoire
et le style ampoulé de Zola m'ont ennuyé dans ce roman ! Ceci expliquant cela, mon billet sera cette fois-ci très court car je ne vois pas grand chose à ajouter si ce n'est qu'avec 20
romans, la fresque des Rougon-Macquart comporte suffisamment de titres pour que ma prochaine lecture de Zola compense celle-ci.
En résumé : une lecture fastidieuse pour ce roman auquel je donne la note de 13/20.
Le plus de Véro : voici ma 11e lecture dans le cadre du challenge Livraddict.