4e de couverture : Thomas Drimm, espérant libérer les Etats-Uniques de la tyrannie, a saboté le Bouclier d’antimatière qui les isolait du restant de la planète. La grippe V fait des ravages. Devenu toxique, le monde végétal semble avoir programmé pour survivre l’extinction de l’espèce humaine. Que veulent les arbres ? De quelle manière entrer en communication avec eux ? Et, surtout, comment les réconcilier avec les hommes ? Héros manipulé par les forces du Bien comme par les puissances du Mal, Thomas est tiraillé plus que jamais entre les femmes de sa vie : Brenda Logan, sa complice catastrophique, Lily Noctis, sa fausse alliée, et Jennifer, sa copine de collège amoureuse. De pièges diaboliques en tentations de son âge, passant des pires dangers aux bonheurs les plus inattendus, Thomas Drimm dispose de quatre jours pour sauver des millions de vies.
Mon avis : La guerre des arbres commence le 13 est la suite de La fin du monde tombe un jeudi qui m’avait littéralement enchantée ! Cette fois-ci, la magie n’a pas opéré et je n’ai pas réussi à accrocher à l’intrigue
proposée.
Cette histoire d’attaque par les arbres ne m’a pas convaincue et je dirai même, pas intéressée. Que j’ai trouvé ce roman long et lent… Si ce n’est quelques éclairs de philosophie sur la fin de
l’ouvrage qui sauve l’ensemble bien que je ne me demande si la réflexion induite par ce passage (le chapitre 28 pour être précise), est accessible au public initialement visé par ce roman. La fin
m’a déçue également, bouclée en quelques paragraphes tout en ouvrant la porte à une suite…
Il n’en reste pas moins que j’ai de l’affection pour le personnage de Thomas même si j’ai trouvé que son sens de l’humour qui m’avait tant amusée dans le premier tome, s’est effrité.
Toutefois, c’est sans doute ce personnage qui me poussera à lire le dernier tome de cette trilogie : annoncée depuis longtemps, celle-ci tarde toutefois à sortir…. Gageons que l’auteur
aura su tenir compte des avis globalement mitigé concernant ce second tome.
Bref, une déception mais cela arrive parfois qui, pour autant, ne m’empêchera pas de continuer à lire cet auteur.
En résumé : un loupé sur ce roman-ci mais je persisterai avec la suite ! 13.5/20.
Merci qui ? Merci à Lasardine de La ronde des
Post-il pour sa patience.... Il y a presque une éternité qu'elle m'a si gentiment prêté ce livre !
Un clic pour d'autres titres de Didier Van Cauwelaert...
Thomas Drimm : la fin du monde
tombe un jeudi.
La nuit dernière au XVe
siècle.
Du côté des challenges....