4e de couverture :
- Zazie, déclare Gabriel en prenant un air majestueux trouvé sans peine dans son répertoire, si ça te plaît de voir vraiment les Invalides et le tombeau véritable du vrai Napoléon, je t'y conduirai.
- Napoléon mon cul, réplique Zazie. Il m'intéresse pas du tout, cet enflé, avec son chapeau à la con.
- Qu'est-ce qui t'intéresse alors ?
Zazie ne répond pas.
- Oui, dit Charles avec une gentillesse inattendue, qu'est-ce qui t'intéresse ?
- Le métro.
Mon avis : en 2010, Les exercices de style m'avaient plus et c'est forte de cette impression favorable que j'ai démarré cette lecture. Las, quelle déception : il n'aura fallu que quelques pages pour que je trouve cette lecture particulièrement pénible.
Que dire de cette Zazie d'à peine une dizaine d'années ? Tout d'abord qu'elle a un langage pour le moins fleuri et une éducation quasiment inexistante : rapidement, je l'ai trouvé tout bonnement insupportable.
Je sais tout le bien que l'on dit de ce roman, et pour cela, je vous laisse vous reporter à n'importe moteur de recherche qui se fera un plaisir de vous dévoiler les dessous de l'écriture de ce
roman.
Pour ma part, l'enchaînement de situations toutes plus extravagantes les unes que les autres, les jeux de langage constants, l'argot employé à longueur de pages ont alourdi ma lecture et ne
m'ont absolument convaincu.
Bref, une rencontre loupée et une lecture interrompue au milieu du roman...
En résumé : une lecture inachevée et donc non notée.
Du côté des challenges : ma 17e lecture.